C'est une poignée de main historique que se sont échangés le président colombien Juan Manuel Santos et le dirigeant de la guérilla marxiste des Farc, Timoleon Jimenez, à La Havane, le mercredi 23 mars. Les deux hommes ont signé à Cuba un accord sur le sort judiciaire des combattants, point crucial des pourparlers de paix. La conclusion des accords de paix doit à présent intervenir dans un délai maximum de six mois. En vertu de cet accord,Tn Requin les crimes contre l'humanité, de génocide,air rift junior les crimes de guerre, les déplacements forcés et les actes de torture ? ne seront pas amnistiés ?, indique le texte lu par les délégués des pays médiateurs, Cuba et la Norvège, ouvrant la voie à la fin du plus vieux conflit armé d'Amérique latine. ? Le chef du secrétariat des Farc et moi-même avons décidé que, au plus tard dans six mois, cette négociation doit se conclure et il faut signer un accord final ? de paix,Nike Requin a déclaré le président colombien lors d'une cérémonie en présence du numéro un de la guérilla,Nike Tn Timoleon Jimenez, dit ? Timochenko ?,Tn Requin et du président cubain Raul Castro. ? La justice est le n?ud des négociations de paix ? Les trois hommes se sont réunis mercredi à huis clos pendant une demi-heure à La Havane, avant de dévoiler officiellement cet accord. C'est la première fois depuis 14 ans qu'un président colombien rencontre le plus haut dirigeant des Farc – recherché pour homicide aggravé, terrorisme, enlèvement et rébellion. C'est aussi la première fois que le président colombien s'est rendu à la table des négociations, alors que les pourparlers ont débuté il y a près de trois ans à La Havane. A ce jour,nike ninja sans trait les négociations avaient permis de régler trois des six points figurant à l'ordre du jour, mais la question la plus épineuse demeurait celle de la ? justice transitionnelle ? pour les rebelles démobilisés.
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